Town Hall on Renewable Energy: Unleashing Renewable Power and sparking a Movement Towards a Sustainable Future

On 15 March, the Renewable Energy Coalition, which represents a diverse group of civil society organisations, community-based groups and grassroot movements hosted the first-ever Town Hall on the Energy Justice in Benin. With over 100 passionate attendees including activists, community leaders, energy experts, and media, we embarked on a journey to champion renewable energy and pave the way for a brighter, cleaner future, fueled by renewables.

The session commenced with a screening of the documentary "The Renewable Charge," highlighting the critical role of community engagement in renewable energy initiatives. A panel discussion ensued, focusing on the current state of energy access in Africa and the barriers hindering renewable energy adoption. It was emphasized that Africa possesses abundant wind and solar resources, which, when harnessed, can significantly reduce greenhouse gas emissions and provide scalable energy solutions tailored to local communities.

Engage, Connect, and Empower

Afterwards, the participants split in the four breakaway groups to connect, engage and share knowledge/experiences:

🎨 Artivism: Harnessing the power of art to build connections, engage people, tell our stories, and demand change. We used renewable energy artivism to inspire young minds to become advocates for renewable energy and to share the vision of a just future powered by clean and fair renewable energy. 

📰 Media: Understanding how to effectively report on renewable energy, amplify our message, and drive the shift towards sustainable practices.

💼 Renewable Energy and Green Jobs: Exploring the endless opportunities in the renewable energy sector, sharing insights and experiences to cultivate a workforce build on sustainability.

🌍 COP: Discussions on climate action, dissecting the outcomes of COP28, and charting the path forward towards a renewable-powered world at COP29.

Considering the fact that affordable and clean renewable energy is the key to a better future, participants emphasized the urgent need for policymakers to prioritize investments in renewable energy as a cornerstone for developing sustainable solutions. Two upcoming initiatives were discussed: an art exhibition focusing on renewable energy and online/offline sessions utilizing themes from the Our Own Power Toolkit, a resource by 350.org with the goal of building community involvement in the creation of local renewable energy projects

Stay tuned for opportunities to engage with these groups and advocate for 100% renewable energy solutions for our communities. Together, we can drive positive change towards a cleaner and more equitable energy future.


Journée mondiale de zones humides : Des activistes pour le climat appellent le Gouvernement congolais à protéger le parc de Virunga contre l’exploitation pétrolière.

A l’occasion de la célébration de la journée mondiale des zones humides, qui sont les milieux à grande valeur écologique et de surcroît très importants dans la lutte contre le changement climatique, les activistes engagés pour le climat en République Démocratique du Congo appellent le gouvernement  à protéger le parc national de Virunga contre l’exploitation pétrolière.

Le parc national de Virunga est un patrimoine mondial de l’UNESCO (1979) et site de Ramsar depuis 1996, grâce à ses importantes zones humides. Cette aire protégée située à l’Est de la République Démocratique du Congo regorge une riche biodiversité, joue un grand rôle dans la régulation du climat mondial et constitue un moyen de subsistance pour les communautés locales. Ainsi, ce patrimoine naturel est sous menace des activités extractives dont le projet du gouvernement congolais qui compte  vendre aux enchères 30 blocs pétroliers et gaziers. Ce qui présente des menaces évidentes sur la biodiversité, le climat et le bien-être des communautés locales.

Depuis le lancement de ce projet en juillet 2022, les activistes et acteurs de la société civile environnementale continuent à protester contre cette décision dangereuse pour la biodiversité et le climat et à demander aux autorités congolaises de privilégier les intérêts et le bien-être des communautés locales.

« La célébration de la journée mondiale des zones humides est une occasion pour nous de mettre en lumière les menaces qui pèsent sur le parc de Virunga et d’appeler le gouvernement congolais à annuler les licences d’exploitation pétrolière encore en vigueur et à mettre fin au projet de vente de blocs pétroliers et gaziers dont certains se trouvent au sein du parc des Virunga » dit Johnnyta Roy, activiste climat de la RDC

Face à la crise climatique actuelle et à ses conséquences qui impactent déjà fortement les communautés en RDC, il est urgent d’explorer d’autres voies autre que l’exploitation du pétrole pour contribuer à l’amélioration des conditions des vies, notamment la promotion des sources d’énergies renouvelables accessibles et créatrices de revenus. Les activistes appellent par ce fait l’État congolais à plus d’ambitions et à capitaliser les opportunités de développement des énergies renouvelables qu’offre le paysage des Virunga afin de contribuer à la protection de la riche biodiversité de cette aire protégée et de ses importantes zones humides.

« Cette année, nous allons continuer à mener des grandes actions de mobilisation des communautés à la base contre la destruction du parc national des Virunga pour le pétrole, le parc est le seul moyen de subsistance pour des milliers des communautés, et nous resterons toujours déterminés pour faire échec à ce projet destructeur » mentionne Justin Mutabesha, activiste FossilFreeVirunga

Notons que l’appel à annulation de la vente aux enchères de 30  blocs pétroliers et gaziers par les organisations environnementales nationales et internationales et activistes n’a pas encore trouvé une réponse favorable de la part du gouvernement congolais.

 

Bonaventure Bondo

Activiste FossilFreeVirunga


Tripler la capacité des énergies renouvelables d'ici 2030 : un triomphe pour le 1,5 degré à la COP28

Alors que la poussière retombe sur la COP28, les défenseurs du climat du monde entier, y compris ceux de 350.org, célèbrent une avancée significative dans la lutte contre le changement climatique suite à l'engagement de 130 pays de tripler leur capacité en énergies renouvelables d'ici 2030, ce qui conduit à une réduction de la dépendance aux combustibles fossiles et à une limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius.

Du 4 novembre au 9 décembre, 350.org et ses partenaires sont descendus dans les rues du monde entier sous la bannière du "PowerUp", exhortant les gouvernements à tripler leurs investissements dans les énergies renouvelables et exigeant que les grands pollueurs assument la responsabilité des dommages qu'ils ont causés. Les résultats de la COP28 suggèrent que ces efforts n'ont pas été vains, alors continuons sur notre lancée.

Pourquoi 1,5 degré Celsius est important : on va la jouer simple!

Vous avez peut-être entendu parler de l'objectif de 1,5 degré Celsius, mais qu'est-ce que cela signifie vraiment ? En termes simples, il s'agit d'un seuil crucial fixé par la communauté internationale pour limiter la hausse des températures mondiales. Pourquoi ? Parce qu'au-delà de 1,5 degré, les effets du changement climatique deviennent plus graves et plus étendus. Il s'agit de vagues de chaleur plus intenses, de l'élévation du niveau des mers, de phénomènes météorologiques extrêmes et de menaces pour nos écosystèmes et nos communautés.

Imaginons maintenant un monde où nous limiterions le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius. C'est un monde où nous atténuons les pires effets du changement climatique, en préservant un environnement plus sûr et plus stable pour les générations futures.

Tripler la capacité des énergies renouvelables : Un changement de cap

L'une des grandes victoires de la COP28 est l'engagement pris par 130 pays de tripler les capacités en matière d'énergies renouvelables d'ici à 2030. Mais pourquoi cet engagement est-il si important pour maintenir le réchauffement de la planète à 1,5 degré ?

La réponse se trouve dans la source de notre énergie. À l'heure actuelle, une grande partie de notre énergie provient de la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, le pétrole et le gaz. Ces activités libèrent d'énormes quantités de gaz à effet de serre, qui emprisonnent la chaleur dans l'atmosphère et provoquent une hausse des températures mondiales.

Les énergies renouvelables, en revanche, proviennent de sources telles que le soleil, le vent, l'eau et la chaleur géothermique. Lorsque nous investissons dans ces sources propres et durables, nous réduisons notre dépendance à l'égard des combustibles fossiles, ce qui diminue les émissions à l'origine du changement climatique.

L'Afrique peut jouer un rôle important dans cette fête de l'énergie propre, car elle regorge de potentiel d'énergie renouvelable sous forme de vent, de soleil et d'autres sources. Le triplement de la capacité ne réduit pas seulement notre dépendance aux combustibles fossiles, mais exploite également les ressources renouvelables de l'Afrique pour un développement économique et social généralisé, comme l'accès à l'électricité, l'emploi et l'amélioration des conditions de vie.

Nous demandons aux décideurs d'investir plus d'argent pour soutenir les plans visant à tripler les énergies renouvelables. Cela signifie qu'il faut tripler l'argent déjà investi dans la construction de fermes solaires, de turbines éoliennes et d'autres équipements géniaux qui nous donnent accès à l'électricité.

C'est comme si nous disposions d'une grande boîte à outils remplie de solutions intéressantes pour produire de l'énergie sans nuire à notre planète. Pour exploiter le potentiel de l'Afrique et tripler les énergies renouvelables, un financement substantiel est nécessaire pour soutenir la transition.

Le pouvoir de la pression publique et de la mobilisation sociale

Les décisions prises lors de la COP28 reflètent non seulement les efforts des décideurs politiques, mais aussi le pouvoir des personnes qui se rassemblent pour exiger un changement. La mobilisation PowerUp, menée par 350.org et ses partenaires, illustre la manière dont la pression publique peut influencer les décisions politiques et économiques. Lorsque nous descendons dans la rue, que nous élevons la voix et que nous exigeons des mesures, les décideurs s'en rendent compte.

Quelles sont les prochaines étapes ? Éliminer progressivement le pétrole, le charbon et le gaz

Si l'engagement de tripler les capacités en matière d'énergies renouvelables constitue une avancée majeure, il reste encore beaucoup à faire. Le développement des énergies renouvelables doit également s'accompagner d'une volonté et de plans concrets pour l'élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz. La société civile demande que la COP 28 aboutisse à une décision d'élimination progressive des combustibles fossiles d'ici 2050 et que cette décision soit reflétée dans les résultats officiels de la conférence. Pourquoi ? Parce que nous ne pouvons pas limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré si nous ne nous affranchissons pas des combustibles fossiles.

En outre, il est essentiel que les grands pollueurs soient tenus responsables des dommages qu'ils ont causés et du rôle qu'ils ont joué dans la crise climatique. Cela signifie qu'il faut s'assurer que ceux qui ont le plus contribué au problème assument la responsabilité d'engager des fonds pour soutenir la transition équitable vers les énergies renouvelables dans les pays en développement, aider ces pays à s'adapter au changement climatique et les dédommager pour les pertes subies.

Alors que nous célébrons les victoires de la COP28, n'oublions pas que notre voix et notre action collectives sont des outils puissants dans la lutte contre le changement climatique. En continuant à promouvoir des mesures audacieuses et ambitieuses, nous pouvons créer un monde où l'objectif de 1,5 degré Celsius n'est pas seulement une aspiration mais une réalité, sauvegardant ainsi la planète pour les générations à venir.


COP28: Une flambée d’annonces optimistes

La 28ème conférence des parties a débuté ce Jeudi 30 novembre 2023. C’est l’une des COP qui a réuni le plus de personnes, environ 100 000 personnes ont fait le déplacement y compris les jeunes africains tel que Oureya Raïssa Responsable de Programme à l’ONG Jeunes Verts pour apporter leur voix et promouvoir la cause climatique.

Le début de cette COP 28 a été marqué par des annonces de financement notamment sur les pertes et dommages destinés à aider les pays vulnérables à faire face aux conséquences de plus en plus coûteuses et dommageables des catastrophes climatiques.

Des avances ont été faites afin de renforcer la résilience des communautés mais néanmoins de nombreux sujet de discussion sont encore sur la table notamment en ce qui concerne le transfert de technologie et la fin des énergies fossiles reste toujours d’actualité. Ceci dit, actuellement il n’y a pas d'engagement de la part des pays développés pour mettre fin à l’exploitation des énergies fossiles et à faciliter le transfert des technologies dans le domaine des énergies renouvelables pour accélérer la transition juste.

En tant qu’activiste pour la promotion des énergies renouvelables, je pense que c’est un point crucial pour le développement durable des communautés. C’est dans ce sens que ma participation aux différents mouvements, sides events et surtout aux négociations en tant qu'observatrice me permettra d’attirer l’attention de nos gouvernements à travers le plaidoyer sur les décisions importantes à prendre pour la survie des communautés et surtout collaborer avec les milliers de personnes présente pour ensemble partager les expériences, nouer des partenariats, mieux orienter nos actions et surtout montrer l’importance des jeunes dans la lutte contre ce fléau mondiale.

Climate Action Now!

Raissa Oureya
ONG Jeunes Verts, membre de Renewable Energy Coalition


#Solar4Schools pour des énergies 100% renouvelables au Bénin et au Togo

Bien que l'Afrique ne contribue que faiblement aux émissions de gaz à effet de serre (3,8 %), le continent est la région du monde la plus menacée par les effets dévastateurs du changement climatique. En plus de la crise climatique, l'Afrique est confrontée à une crise énergétique. L'industrie des combustibles fossiles, dont l'objectif n'est que de faire progresser les économies du monde accidental, a pendant des décennies mené des activités d'extraction motivées par l'appât du gain. Ces activités ont privé l'Afrique de l'énergie nécessaire, faisant d'elle l'une des premières victimes des effets du changement climatique. En 2023, prêt de 600 millions d'Africains n'ont toujours pas accès à l'électricité et près d'un milliard de personnes n'ont pas accès aux moyens de cuisson propre, et dépendent encore de combustibles polluants tels que le charbon ou le kérosène.

 

Pour faire face au double défi climatique et énergétique en Afrique, nous devons empêcher tout nouveau financement en faveur de l'industrie des energies fossiles, faire cesser leurs activités polluantes et tirer parti des énergies renouvelables. Les énergies renouvelables ne sont pas seulement une solution aux problèmes contemporains. Nous devons nous devons faire pression sur nos décideurs pour qu'ils exploitent pleinement ces opportunités et assurent une transition vers les énergies renouvelables, qui réponde aux besoins actuels des africains et ceux des générations futures.

Des études ont montré que l'Afrique a le plus grand potentiel en termes de production solaire au monde et dispose d'une énorme capacité en matière d'énergies éolienne et hydraulique. La combinaison de plusieurs sources d'énergie renouvelable peut être une alternative aux combustibles fossiles et peut être tout aussi fiable.

 

La campagne #Solar4Schools de RE Coalitions a pour but de:

  1. éduquer les étudiants, les jeunes et les communautés du Bénin et du Togo à travers la sensibilisation, la formation,
  2. Mobiliser les décideurs politiques à travers des actions de plaidoyer en faveur des énergies 100% renouvelables, et...
  3. …et la distribution d'équipements solaires.

L'Afrique a besoin d'énergies renouvelables pour résoudre la crise climatique et énergétique que connait le continent. Une transition juste vers les énergies renouvelables favorisera l'accès à une énergie durable, propre et d'un coût abordable. Les énergies renouvelables peuvent éclairer et alimenter l'Afrique en énergie, créer des emplois et stimuler nos économies en créant au moins 26 millions d'emplois sur le continent d'ici à 2050.


Coup d'envoi d'un mois d'action mondial pour appeler à passer aux énergies renouvelables

Communiqué de presse

4 novembre 2022

Afrique — À partir d’aujourd’hui, 350.org, en collaboration avec des groupes et des communautés de base en Afrique et dans le monde entier, participera à plus de 200 actions dans 46 pays qui donneront le coup d’envoi d’un mois d’action mondial pour appeler à une révolution des énergies renouvelables et à un abandon équitable des combustibles fossiles. Ces actions s’inscrivent dans le cadre d’une initiative de 350.org baptisée “Power Up”, qui demande aux gouvernements du monde entier d’abandonner les combustibles fossiles polluants (charbon, pétrole et gaz) et de consacrer des investissements substantiels à la mise en place d’un avenir sûr, juste et durable, fondé sur des énergies renouvelables centrées sur l’homme.

Ces actions se dérouleront également dans le contexte de l’annonce de profits faramineux par différentes entreprises de combustibles fossiles, qui privilégient de manière flagrante le profit aux dépens des populations et de la planète. Alors que l’Afrique subit de plein fouet l’aggravation des impacts climatiques tels que les inondations, les sécheresses et les tempêtes, les communautés appellent les gouvernements à responsabiliser les pollueurs en les faisant payer par le biais d’une taxe sur leurs revenus et en réorientant ces fonds vers le financement d’un système d’énergie renouvelable ancré dans la justice. 

Glen Tyler-Davies, chef de l’équipe d’Afrique du Sud, 350Africa.org, a déclaré : 

“La transition vers les énergies renouvelables est en cours. Le plus grand risque aujourd’hui est qu’il s’agisse de plus en plus d’une transition désordonnée – une transition sans plan clair qui préserve ou aggrave les inégalités en termes d’accès à l’énergie et de détenteurs du pouvoir sur la production d’énergie. Cela ruinera les chances de créer un système énergétique et une société plus équitables. Nos dirigeants doivent se réveiller et comprendre cela. Ils doivent proposer et mettre en œuvre un plan pour une transition juste qui fournisse le pouvoir, au sens propre comme au sens figuré, à la population. Nous devons mettre en place un avenir énergétique propre, juste et renouvelable”.

Rukiya Khamis, organisateur régional pour l’Afrique, 350Africa.org, a déclaré : 

“Alors que nous sommes confrontés à des impacts climatiques de plus en plus importants, auxquels le continent africain est le plus vulnérable, nous espérons qu’un avenir vivable est possible. L’Afrique dispose d’un potentiel d’énergie renouvelable abondant qui lui offre une occasion unique de mener la révolution mondiale des énergies renouvelables et de favoriser une transition équitable pour s’affranchir des combustibles fossiles. Nous appelons les gouvernements et les institutions financières à alimenter le continent en toute sécurité en canalisant les fonds vers les énergies renouvelables axées sur les populations, en s’engageant à éliminer progressivement les combustibles fossiles et en demandant à l’industrie des combustibles fossiles de payer pour le rôle qu’elle a joué dans la crise climatique”. 

Zaki Mamdoo, coordinateur de la coalition “Stop EACOP”, a déclaré,

“Ces actions unissent les militants, les organisations et les communautés du monde entier et coïncident avec l’annonce des profits records des géants des combustibles fossiles, réalisés grâce à l’exploitation de notre travail et de l’environnement. Rejoignez-nous dans les centaines d’actions organisées à travers le monde pour exiger la fin de l’ère des combustibles fossiles et une transition vers des systèmes d’énergie renouvelable appartenant à la communauté et fondés sur la justice.

Christian Hounkannou, organisateur régional francophone, 350Africa.org

“Le réchauffement rapide de notre planète n’est pas le résultat de forces naturelles ; il s’agit d’un acte délibéré, d’un crime commis par une minorité de privilégiés à la recherche d’un profit personnel. Pendant de nombreuses années, ils ont fait obstruction aux mesures climatiques afin de préserver leurs immenses richesses. Toutefois, ils ne sont pas exempts de responsabilité. Le potentiel de l’Afrique en matière d’énergies renouvelables dépasse celui de tous les autres continents. Ayant subi les graves conséquences des combustibles fossiles, elle se présente comme un candidat de choix pour mener le monde vers une trajectoire de développement énergétique alternative et propre. Le moment est venu de nous libérer du charbon, du pétrole et du gaz, et de tenir les pollueurs responsables des changements essentiels et immédiats dont nous avons besoin”.

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Notes aux rédacteurs

Pour plus d’informations sur Power Up et une liste complète des actions menées dans le monde entier, visitez le site web globalpowerup.org.

Des photos et des vidéos seront disponibles ici après les événements.

Contact : Anna Amar anna.amar@350.org